Le Blog de Maître Mathieu

J'ai échangé avec ce bâtard de 26 ans pendant plusieurs mois. C'était un mec qui vivait à Paris et qui avait déjà un Maître. Son Maître l'avait dressé pendant un certain temps, puis il était parti à l'étranger, mais il continuait de le dresser à distance (comme je fais régulièrement avec certains petits bâtards). Toutefois, ce bâtard parisien m'avait avoué qu'il était en manque d'ordres, et me demandait de lui suivre régulièrement. Ce qui je fit avec plaisir ! Il a donc eu droit à mes appels réguliers, ponctués d'ordres à réaliser immédiatement ou ultérieurement ! Comme il vivait en colocation, ce n'était pas toujours facile pour lui, mais c'était un bon bâtard, et faisait tout son possible pour me satisfaire. Impossible pour moi de vous dire le nombre de branles imposées qu'il du faire dans sa chambre, avec ses colocs à côté. Il gémissait en silence, mais je sentais qu'il était très excité, et qu'il s'en fallait de peu pour qu'il ne gueule son plaisir à pleine voix, sous peine de dévoiler ses penchants à ses compagnons. Parfois, quand il était seul, il me demandait de le contacter pour le dominer : c'était un vrai plaisir ! Surtout quand il avait des rendez-vous ou des dîners... Je prenais un malin plaisir à le mettre en retard, en l'obligeant à se sturber, à cracher dans son boxer, et à sortir avec ! Même punition quand il était au boulot. Je l'appelais avant qu'il n'entre en réunion. Il devait alors se rendre dans une salle de meeting, ouvrir son pantalon, et éjaculer, selon les jours et mon humeur, sur la table se trouvant dans la salle ou encore dans son boxer. Il se rendait ensuite en réunion avec ses supérieurs, le paquet humide et souillé, ou la main moite de jus ! Tout a bien fonctionné jusqu'au jour où son Maître est revenu de l'étranger et l'a repris en main. Il m'a donc demandé d'arrêter nos échanges... Mais l'histoire ne termine pas là. Voilà qu'un jour il me contacte et m'annonce qu'il se trouve à Bordeaux pour une formation. Il loge à l'hôtel et se tient disponible pour enfin me rencontrer en réel. Malheureusement, je suis très occupé ce jour-là, mais j'avoue que la perspective de le rencontrer m'excite beaucoup. Je lui propose de le récupérer devant son hôtel et de nous voir très rapidement. Il accepte. Je me rends donc dans le centre de Bordeaux. Il m'attend devant l'entrée de l'hôtel, en jeans, pull et tee-shirt. Il a toujours cet air de garçon de bonne famille. Je lui fait signe de monter dans la voiture, et nousvoici enfin côte-à-côte. Il me dit "vous", comme il le faisait lors de nos échanges et m'appelle "Maître'. Je vais lui faire faire une petite balade "express" le long des quais de Bordeaux qui va durer environ 20 minutes. Pendant le trajet,  je lui demande d'ouvrir son pantalon pour me montrer son paquet, puis de le refermer. Puis je l'oblige à se masturber pendant tout le temps que nous passerons ensemble. Il se branle à travers son pantalon et son visage exprime gêne et excitation : gêne quand nous sommes arrêtés aux feux, et que des voitures sont proches de nous alors qu'il doit continuer son travail sur sa queue, et excitation quand je l'insulte comme il le mérite ! Nous presque de retour devant son hôtel lorsqu'il crache son jus dans son caleçon. Une belle auréole humide vient tapisser son jeans à l'entrejambe. Il descend tout piteux et cette fois vraiment gêné d'exhiber cette "tâche" aux yeux de tous ! J'espère qu'il aura au moins apprécié cette visite de notre belle ville, malgré cette "humidité" passagère !